Français Essais en francais
Après la guerre
Je prends tes mains, c'est mon départ
pour aller á la guerre.
Le train - ils disent - est en retard
il fait si froid dehors ce soir,
ne t'en fait pas ma chère.
Maintenant tu pleures quand je t’embrasse
je pleure aussi, tu vois.
Je doit quitter mon Montparnasse,
comme tous mes camarades en face
car on n'a pas de choi.
Les Loups m’ont capturé enfin
il n’y avait pas d’ chance.
Je me retrouve maintenant à Vienne
comme prisonnier, j'hais ces chiens
qui sont entrés en France.
Tu es si loin d’ici ma chère,
pourquoi tu n’écris plus?
Je suis si triste et j’ai eu peur
d’avoir perdu ma petite fleur
à quelqu’un parvenu.
Enfin je suis rentré chez nous,
bien épuisé mais fier.
Je regardais et dans un coup
j’ai bien perdu touts mes atouts
à Pierre mon propre frère.
Kalumet
Je prends tes mains, c'est mon départ
pour aller á la guerre.
Le train - ils disent - est en retard
il fait si froid dehors ce soir,
ne t'en fait pas ma chère.
Maintenant tu pleures quand je t’embrasse
je pleure aussi, tu vois.
Je doit quitter mon Montparnasse,
comme tous mes camarades en face
car on n'a pas de choi.
Les Loups m’ont capturé enfin
il n’y avait pas d’ chance.
Je me retrouve maintenant à Vienne
comme prisonnier, j'hais ces chiens
qui sont entrés en France.
Tu es si loin d’ici ma chère,
pourquoi tu n’écris plus?
Je suis si triste et j’ai eu peur
d’avoir perdu ma petite fleur
à quelqu’un parvenu.
Enfin je suis rentré chez nous,
bien épuisé mais fier.
Je regardais et dans un coup
j’ai bien perdu touts mes atouts
à Pierre mon propre frère.
Kalumet